mardi 30 octobre 2012

Bref

Je me suis interrogé de longs instants avant de savoir comment poster le Put me to work de PAPA, un nouveau groupe de L.A. qui fait, à juste titre, pas mal de vagues en ce moment sur les blogs du monde entier. Evidemment m'est apparu immédiatement le petit air de famille avec Arcade Fire, notamment dans ces morceaux flamboyants qui finissent par tout emporter sur leur passage façon Lies (Rebellion).



Dans le même ordre d'idée, me sont venus en mémoire d'autres morceaux avec une dimension épique. Comme il y a presque vingt ans, cette déclaration enflammée des Anglais d'Icicle Works, Love is a wonderful colour.



Je me suis demandé si je ne devais pas faire un post sur les morceaux qui ouvrent sur un "One two three four", une série de chiffres qui donnent immédiatement une sacrée énergie. Energie totalement rock. Mais, à vrai dire, je n'en avais qu'un en tête, celui, fabuleux, de Claudia Brücken en ouverture du Jewel de Propaganda. Si fabuleux d'ailleurs que Les enfants du rock en firent le tout début de leur générique avant la musique des Cure.



Et puis je me suis dit merde ; pourquoi ne simplement pas poster la chanson comme ça, telle quelle ? Parce qu'il ne faut tout simplement pas passer à côté de ce titre, d'autant plus qu'il est, à l'heure actuelle, en téléchargement gratuit. Je pense que ça ne durera pas vu son pouvoir de séduction. Je me disais que si je procédais ainsi, j'écrirais sans doute moins que je le fais d'habitude. Mais quand une chanson en impose autant en deux minutes et trente sept secondes, à quoi bon s'emmerder à écrire un roman ?

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